Résumé: Joanne Findon étudie la manière dont Michael Bedard présente les forces du mal dans ses oeuvres, particulièrement dans son roman A Darker Magic et sa suite, Painted Devil. Fondant son analyse sur l'examen des sources de l'auteur, de sa technique narrative et de ses intentions énoncées dans les entrevues qu'il a accordées, elle situe la manifestation la plus radicale du mal dans le "désir d'étouffer la volonté et l'individualité de l'autre." A l'opposé et en contrepartie, l'amitié constitue "la lumière du monde."
Summary: This articles explores the way in which Bedard treats forces of darkness and evil in his novels, particularly in A Darker Magic and its sequel Painted Devil. Building her arguments out of textual analysis, personal interviews with Bedard, and a study of the works which have influenced him, Findon locates Bedard's "darkest dark" in the desire to extinguish the will and the individuality of another person. Against this, human friendship constitutes the "light of the world."
